Du 16 au 19 mars (oui je sais j'ai du retard), direction la côte Pacifique avec Alex.
Après une nuit de trajet en bus, la chaleur écrasante à notre arrivée annonce la couleur ! Vite en maillot de bain !
Vue sans prétention depuis l'hôtel |
Puerto Escondido, petite ville enfouie dans les cocotiers de la côte Pacifique, est LE rendez-vous des surfeurs du monde entier au Mexique, le fameux "Mexican Pipeline", comme ils disent. Elle est considérée comme le 3ème spot de surf mondial.
En effet, sur la plage Zicatela, il y a de belles vagues ! Et encore quand on y était c’était "gentil". La meilleure période pour les surfeurs (avec des vagues pouvant atteindre 12 mètres de hauteur !) est de mai à juillet.
Mer agitée de la Plage Zicatela |
Alex et moi on s’est donc contenté des "petites" vagues mais parfois le mode essorage de la machine à laver nous a quelque peu malmené pour nous ramener bien vite au bord… !
La tête hors de l'eau, Puerto Escondido c’est aussi son petit port et son village de pêcheurs à l’ambiance très chaleureuse ! Quand nous y sommes allés, bien que ce soit un week-end prolongé, je n’ai pas senti que l’endroit était envahi par les touristes (même si on sent que les hôtels – à taille humaine – poussent comme des fleurs dans la ville), on était vraiment tranquilles !
A défaut de savoir surfer, on a regardé les jolis poissons à travers l'eau turquoise - dans des eaux plus calmes - et nous sommes partis avec Felipe et ses amis sur un petit bateau à moteur.
Une fois au large, Felipe scrute l’eau, plonge et ressort avec une tortue dans ses bras !! Incroyable ! Le temps de faire un bisou à la tortue et hop je me jette à l’eau pour patauger avec elle. Bon une tortue c’est un peu stone quand même… Celle-ci donnait de rares coups de nageoire, histoire de dire attention faut pas trop m'embêter non plus.
Puerto Escondido c’est donc aussi la chaleur ! On a vite compris que le parasol était indispensable…
C’est aussi déjeuner les pieds dans le sable, au son des vagues, à des prix imbattables et seuls au monde !
Le soir, la rue piétonne est animée, toutes les boutiques sont ouvertes, la musique retentit à chaque coin de rue, les vendeurs ambulants ne cessent de vous accoster pour vous proposer des… cuillères en bois (on a pas compris le délire sur les cuillères en bois, c’est exactement celles qu’on a pour cuisiner !).
En tout cas, je ne me lasse pas de regarder la mer mais toutes les bonnes choses ont une fin, alors on s’en retourne à la capitale, encore bercés par le bruit des vagues et en emportant avec nous coups de soleil, sable et beaux souvenirs…
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